Contribution de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Dieppe

Ci-dessous, la contribution de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Dieppe en faveur du Contournement Est

A28_A13 Contribution CCID

Intervention de M. Christian BOULOCHER, Président du CNPT

Concertation publique – réunion à Oissel le 12 juin 2014

Intervention de M. Christian BOULOCHER, Président du Comité Normand des Professionnels du Transport – CNPT

 

« Je suis très heureux et même admiratif de toutes les personnes qui parlent au nom des transporteurs, de savoir par où ils vont passer, comment ils viennent, comment ils font. Cela fait 35 ans que je fais ce métier et je n’en n’ai pas encore fait le tour.

L’économie des transports est très complexe. Vous parlez de péage en disant on ne va pas payer l’autoroute. Qu’en savez-vous ?

Pensez-vous qu’on soit satisfait aujourd’hui d’effectuer des liaisons excessivement importantes entre la Picardie, la Champagne, vers le Port de Rouen, d’arriver par des routes nationales ou départementales, de devoir traverser Fleury-sur-Andelle, Boos, Mesnil-Esnard, Franqueville-Saint-Pierre, Bonsecours, descendre la côte dite des poids lourds.

En tant que chef d’entreprise, j’ai 250 conducteurs. Quand je vois Rouen, j’ai hâte de ne plus gêner la population qui avoisine ces routes nationales. On nous a obligés à contourner Yvetot par l’A29. C’était un bon choix. Ici, il faudrait que l’on continue de traverser toutes ces villes, tous ces villages, toutes ces agglomérations.

Le tracé, il est ce qu’il est. Il permet d’alimenter d’une part le Port de Rouen et quand on parle du report modal, pensez-vous que nous transporteurs nous y soyons opposés ? Non. Notre travail ce n’est pas de faire rouler des camions, c’est de déplacer de la marchandise. Notre principale préoccupation, c’est l’organisation des transports. Lorsque nous avons des choix alternatifs meilleurs que le camion, nous les prenons.

Alors vous n’avez qu’une face visible sur laquelle vous vous arrêtez. Ce qu’il faut, ce n’est pas tant s’interroger sur le fait qu’il y a autant de camions mais pourquoi y en a-t-il autant ? Parce que c’est aujourd’hui le mode le plus efficace. Si les autres modes étaient aussi efficaces, leur part progresserait.

Il n’est pas question de petite ou grosse entreprise. C’est une question de simple logique et de logistique.

Vous avez dit que le monde changeait, le besoin en transport change en permanence. Il y a 40 ans, il n’existait pas de dernier kilomètre, Il y a 40 ans, il n’existait pas de commerce électronique, Il y a 40 ans, il n’existait pas de poids moyen transporté aussi faible qu’aujourd’hui ; on était sur des masses pondéreuses, sur des commandes industrielles. Donc il faut s’adapter à ces changements. Et si aujourd’hui, dans cette région, nous nous sentons très visés, on parle des quais bas, donc si on ne peut plus aller sur les quais bas, on va prendre la RD18E. Il faudra bien passer quelque part.

Pour conclure, les responsables, ce ne sont pas ceux qui utilisent les infrastructures, mais c’est le retard qui a été pris pour les infrastructures. »

Contribution de la CCI de Rouen et de l’Association pour le Contournement Est de Rouen

La CCI de Rouen et l’Association pour le contournement Est de Rouen ont remis au Garant la contribution ci-dessous

Cahier d’Acteur CCI-ACER___final___Juillet 2014_WEB

Déclaration du Président lors de la Table Ronde « Développement économique » à Oissel

Déclaration adressée publiquement par le Président de l’Association pour le Contournement Est de Rouen lors de la Table Ronde « Développement économiques » à Oissel le 12 juin 2014

 

Tout d’abord je rappelle que 2800 chefs d’entreprises nous ont rejoints pour soutenir le projet de contournement Est de Rouen.

Les milieux économiques souhaitent vivement que soit réalisé rapidement ce Contournement de Rouen.

Le projet présenté en 2005 lors du débat public a fait l’objet d’études qui ont montré quels étaient les enjeux concernant l’attractivité, la dynamique industrialo portuaire et l’amélioration des conditions d’accès à l’agglomération.

Ce qui représente une perspective de développement des activités et au final un atout essentiel pour l’emploi.

Ces enjeux ont été confortés durant ces dix dernières années par diverses études menées par les services de l’Etat pour assurer le développement de l’Axe Seine en prévision de l’ouverture du Canal Seine Nord Europe.

Le Grand Port maritime Haropa Port de Rouen qui a inscrit le Contournement Est dans son projet stratégique souhaite disposer d’accès rapide à ses installations.

Que ce soit pour l’activité céréalière en provenance des plaines agricoles de l’Est, que ce soit pour les échanges avec la Haute Normandie (66% des trafics à courte distance se font par la route) et enfin pour être en phase avec le réseau de plate formes multimodales disposées à l’amont de Rouen ; Seine Sud et Pitre le Manoir étant directement reliées par le Contournement.

Le redéploiement des activités portuaires liées à Port 2000 et Haropa Port de Paris, représente  un défi pour capter les trafics nationaux dévoyés vers les ports du range Nord Européen.

Le contournement de Rouen est une des clef du succès de ce redéploiement comme l’indique le rapport du CESER, ainsi que le document de la Crea sur la stratégie de développement économique Horizon 2020, ou encore Ambition 2020 de la CCIR.

C’est aussi une des raisons essentielles qui ont conduit l’Etat français à prendre en charge l’ensemble de l’ouvrage sous condition que son tracé soit au plus court, et qu’il soit conforme aux exigences européennes en matières environnementales.

Le tracé préférentiel est le résultat d’études approfondies de toutes les variantes possibles dans le périmètre du fuseau concerné pour le passage d’un contournement tel qu’il a été envisagé à la suite du débat public de 2005.

La liaison A28/A13, outre son rôle de lever le verrou autoroutier de l’axe Calais Bayonne, et de dévier le trafic de transit, permettra de relier les bassins d’emplois de la vallée de l’Eure et de l’Andelle.

Cette liaison, connectée au barreau Sud et à la Sud 3, outre son rôle de desservir rapidement le Grand Port Maritime, représente un des chaînons essentiels de la future rocade autour de la Métropole.

Le Premier Ministre, suite au rapport « Mobilité 21 », a récemment mis le projet en 1ère priorité, et ce, malgré quelques avis contraires évoqués dans ce rapport.

Il serait donc navrant que ce projet ne soit pas suivi d’un avis favorable au terme de cette concertation, d’autant que le tracé préférentiel est le dernier susceptible de permettre de voir un jour la réalisation de ce contournement.

Contribution du Club Elan

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L’association ELAN (Entrepreneurs Leaders pour l’Avenir de la Normandie) a rappelé dans son Grand Plateau du 6 novembre 2013 les six grands défis de l’agglomération normande  dont bien sûr le défi des infrastructures avec la LNPN et le contournement de Rouen (lettre N°5 ci-jointe).

L’association souhaite  amener  sa contribution  écrite  sur le projet avec les éléments suivants :

1 – Après analyse comparative des 34 variantes de tracé, nous considérons que le tracé retenu est acceptable. Ce tracé doit faire l’objet de mesure d’intégration paysagère afin qu’il reste « en surface » pour optimiser son coût.

2 – Ce projet est un projet d’intérêt général attendu par la grande majorité des citoyens et de l’unanimité des entreprises pour permettre un développement de la métropole rouennaise.

La non réalisation de cette infrastructure entrainera un déclin des activités portuaires et industrielles.

3 – Ce projet doit être réalisé sous la forme d’une concession autoroutière pour plusieurs raisons :

  • un délai court garanti. Il est même envisageable de gagner plus de 2 ans sur le calendrier prévu.
  • un transfert des risques au privé aux différents stades du projet :
  • montage financier
  • conception, réalisation
  • exploitation, maintenance
  • trafic, péage
  • un niveau de service garanti en toute circonstance 24h/24 et 365j/365
  • un principe de base à savoir, l’utilisateur est le payeur

4 – Etant donné les trafics estimés entre 20 et 30 000 véhicules/jour selon les tronçons, la subvention d’équilibre devrait être très nettement inférieure au chiffre de 50% indiqué lors de la réunion d’ouverture du 2 juin 2014.

Nous sommes tous convaincus que ce projet est indispensable dans un intérêt général et que l’enquête publique pourra être lancée dès 2015.

Daniel CORNET

Président ELAN Normandie

Position de Logistique Seine Normandie et du Club Logistique de Rouen

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Position de Logistique Seine Normandie et du Club Logistique de Rouen s’agissant du Contournement Est de Rouen/liaison A28-A13

Rouen, qui deviendra d’ici peu une Métropole, est la dernière agglomération française de cette importance (500 000 habitants) à ne pas être dotée d’un contournement routier.

Le transport routier représente  en France 87 % du trafic de transport tous modes confondus et cette tendance n’est pas près de diminuer dans les prochaines années, voire même à moyen et long termes. La logistique routière représente, avec 13 900 salariés, la part la plus importante des 39 300 emplois que compte au total la filière logistique de la région Haute-Normandie et qui place cette dernière en tête des régions françaises.

L’agglomération rouennaise souffre depuis de nombreuses années de conditions de circulation déplorables qui ne sont plus tolérées par ses habitants et ses entreprises et qui posent de sérieux problèmes au territoire régional en matière d’attractivité, de compétitivité économique, d’environnement et de sécurité.

Par conséquent, nous jugeons impérative la réalisation de ce Contournement afin notamment de :

– Faciliter le report des trafics de transit de poids lourds afin de fluidifier la desserte locale et les trafics d’échanges,

– Donner l’opportunité aux instances politiques de mieux considérer la question de la desserte locale. Celle-ci permet aux trafics spécialisés d’accéder plus directement vers la zone d’activité portuaire située à l’ouest de la rive sud et maintenir l’essor du Grand Port Maritime de Rouen, premier port céréalier européen,

– Rendre possible le développement de zones d’activités logistiques multimodales, notamment au Sud-Est du territoire (ex. Seine Sud, Pitres – le Manoir),

– Garantir le maintien et le développement des activités industrielles et logistiques implantées sur l’ensemble du territoire régional et par conséquent, permettre un bon niveau d’emploi,

– Améliorer les conditions environnementales (gaz à effet de serre, nuisances sonores, dégradation des voieries non appropriées…) du territoire et de ses habitants,

– Contribuer à renforcer la sécurité de la population.

 

Pour Logistique Seine Normandie                   Pour le Club Logistique de Rouen

Alain VERNA – Président                                    Eric DUBES – Président

Motion de l’association pour le contournement Est de Rouen

logo_ACER_V10MOTION en faveur du projet de Contournement Est de Rouen

sur la base du tracé Préférentiel de 2012

 

LE CONTOURNEMENT EST DE ROUEN

UNE URGENCE POUR NOS EMPLOIS – UNE EXIGENCE DU MONDE ECONOMIQUE

 

Rouen, 12ème agglomération française, future Métropole au 1er janvier 2015, est la seule ville européenne plus de 500 000 habitants à ne disposer d’aucune infrastructure de contournement (39 500 établissements, 300 000 emplois, 40 000 étudiants).

– La traversée de l’agglomération rouennaise reste aujourd’hui le seul goulet d’étranglement de l’axe autoroutier Nord – Sud-Ouest européen reliant Stockholm à Gibraltar et plus localement du Grand contournement du bassin parisien.

– Les conditions actuelles de circulation au sein de cette grande agglomération rouennaise sont devenues intolérables pour ses habitants, ses entreprises et leurs personnels et cela occasionne des nuisances pour la santé, une dégradation de la qualité de vie et génère de vives inquiétudes pour l’emploi.

 

Le projet de Contournement Est / Liaison A28-A13 est vital pour notre région car il permet :

– De garantir et d’améliorer l’attractivité et la compétitivité du territoire régional. 

– De maintenir et développer les activités industrielles autour de HAROPA-Port de Rouen en phase d’amélioration de ses accès maritimes, et actuellement pénalisées par une mauvaise desserte routière.

– D’envisager la création de plates-formes multimodales (Seine Sud, Pîtres-Le Manoir) dépendantes du contournement et nécessaires au développement de l’Axe Seine.

– D’assurer la communication entre les zones d’activités disséminées à l’est de la future Métropole et regroupant le 1/3 des emplois de cette dernière.    

– De soustraire du centre-ville de Rouen le trafic de transit afin d’améliorer l’accessibilité aux commerces, la sécurité des biens et des personnes en évitant une asphyxie programmée de la métropole régionale par réduction des gaz à effet de serre (- 7,3% de CO² sur l’ensemble de la Métropole).

– De faciliter les déplacements et de réduire les temps de trajet domicile/travail entre les plateaux Nord et Est et les grandes zones industrialo-portuaires.

Depuis plus de 30 ans, les études sur un contournement à l’Est de l’agglomération se sont succédées sans que leur utilité soit remise en cause.

Pour mémoire, ce dossier a fait l’objet, en 2005 d’un débat public suivi d’une décision favorable.

En 2009, 2 800 entreprises, représentant 80 000 emplois, soit 1/3 des emplois de la future Métropole, ont réclamé cette infrastructure au plus vite en signant une pétition adressée au Ministre.

Reconnu conforme aux exigences du Grenelle 1 de l’Environnement, il est inscrit au Schéma National des Infrastructures Terrestres (SNIT) depuis 2009.

Le Préfet de Région a présenté, en octobre 2012, une variante préférentielle de l’État  issue des études complémentaires de tracés à soumettre à enquête publique.

Il est classé prioritaire dans les projets d’infrastructures retenus par le rapport Mobilité “21” sur une décision du 1er Ministre en date du 9 juillet 2013.

PAR CONSEQUENT LES MILIEUX ECONOMIQUES NORMANDS

– Estiment que le travail des services de l’État à déterminer un nouveau tracé correspond à la meilleure proposition au vu des enjeux économiques, environnementaux et humains.

 – Se mobilisent de manière unitaire et énergique pour que cette infrastructure soit réalisée dans les plus brefs délais.

– Sont  très favorables au tracé préférentiel de 2012 soumis à Concertation Publique.

 

Position du MEDEF Rouen-Dieppe

Position du MEDEF Rouen-Dieppe s’agissant du Contournement est de Rouen

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L’urbanisation est un phénomène mondial qui concerne aussi la France.

Il importe donc que la ville de Rouen prenne en compte cette évolution sociologique.

Le transport routier représente 85% du trafic et une involution n’est pas envisageable à moyen ni à long terme.

Rouen sera une Métropole bien que n’en ayant pas toutes les caractéristiques notamment en matière de transport routier et ferroviaire.

Le transport autoroutier est le plus sécurisé.

En conséquence la déviation  avec sa dernière version a l’aval du monde économique car :

– Elle renforce la sécurité

– Elle permet un accès rapide et plus sûr au secteur industriel sud,

– Elle décongestionne le cœur de Rouen

– Elle réduit la pollution de cette ville

– Elle renforce la position de Rouen comme Métropole

– Elle minore les conséquences sur l’environnement.

Enfin la déviation ouest préconisée par d’aucuns est incompatible avec l’augmentation de 20 000 véhicules autour et sur le pont Flaubert.

Le Medef demande vivement que ce projet, qui date de plusieurs dizaines d’années, voit le jour au plus tôt, car il est de l’intérêt de notre territoire.

Petite remarque :  le coût d’un milliard cent millions d’euros ne représente que 8 jours des intérêts de la dette de la France

 

Yves KEROUEDAN

Président MEDEF Rouen-Dieppe

MEDEF rouen dieppe

Déclaration du Président de l’Association pour le Contournement Est de Rouen, lors de la réunion d’ouverture de la concertation

Déclaration adressée publiquement lors de l’ouverture de la concertation à Rouen le 2 juin 2014

L’association pour le Contournement Est que je représente ici soutient ce projet d’infrastructure depuis le débat public de 2005.

Durant cette dernière décennie, cette association soutenue par le monde économique n’a eu de cesse d’interpeller l’ensemble des acteurs responsables de la mise en œuvre de ce projet essentiel pour notre agglomération.

Nous sommes aujourd’hui à un point de non retour, qu’on le veuille ou non, si le tracé préférentiel, sujet de cette concertation, n’était pas retenu, c’est le projet lui-même qui serait remis en cause, voire abandonné.

Quel désespoir ce serait pour notre future métropole, la seule à ne pas disposer de contournement routier, condamnée à subir les affres d’un manque d’attractivité. Un manque d’attractivité préjudiciable pour son développement économique, et assurément pénalisant pour l’emploi dans un contexte actuel particulièrement préoccupant.

Quel désespoir ce serait aussi pour Haropa Port de Rouen, premier port céréalier d’Europe, avec ses entrepôts, le véritable magasin de la région Ile-de-France, un grand port maritime qui au cœur de l’axe Seine s’est lancé dans d’importants travaux pour dynamiser ses activités et ouvrir une voie nouvelle pour maintenir et développer les secteurs porteurs d’emplois.

Quel désespoir ce serait enfin pour les habitants de cette capitale régionale, et plus particulièrement ceux de plus en plus nombreux des plateaux Nord et Est, condamnés à subir la saturation des voies pénétrantes, seuls accès possibles à leur lieu de travail, aux commerces du centre et à toutes les structures publiques ou privées indispensables à leur bien-être.

Inutile de noircir encore ce tableau, et profitons de cette nouvelle étape pour convaincre toutes celles et tous ceux qui doutent encore de l’importance de cette infrastructure.

Qu’ils sachent que le Contournement de Rouen a fait l’objet de nombreuses études et qu’il a acquis au cours de ces trente dernières années au travers des différentes procédures administratives une légitime reconnaissance de son utilité.

Retenu comme projet structurant lors du débat public de 2005, conforme au Grenelle 1 de l’environnement, inscrit au Schéma National des Infrastructures Terrestres, et classé en première priorité par la commission « Mobilité 21 », il fait consensus au niveau de l’Etat, des Collectivités Territoriales, des Chambres de Commerce et d’Industrie, des différentes fédérations professionnelles, et d’une grande majorité des habitants de cette agglomération. Ainsi en 2005, 88% des Rouennais étaient largement favorables au contournement, ainsi que 5 000 pétitionnaires sur 5 500 signataires.

En 2009, 2800 chefs d’entreprise représentant le 1/3 des emplois de l’agglomération ont répondu favorablement à notre appel pour accélérer la procédure de réalisation de cette infrastructure.

Qu’ils sachent que la liaison A28/A13 va permettre de préserver la métropole du trafic routier de transit et de fluidifier les trafics d’échanges avec les zones industrialo-portuaires, ce qui améliorera la qualité de l’air sur l’ensemble de la métropole.

Qu’ils sachent que cette même liaison ouvrira un accès vers les bassins d’emplois de la vallée de l’Andelle et de l’Eure.

Qu’ils sachent qu’elle sera un des maillons structurants pour permettre le contournement court et complet de l’agglomération.

Qu’ils sachent enfin qu’avec leur soutien au tracé préférentiel, le Contournement de Rouen ne sera plus une chimère pour les uns, l’Arlésienne pour d’autres, un serpent de mer que l’on se passe de génération en génération depuis 40 ans.

Oui, cette fois avec une adhésion franche, massive, et conforme à l’intérêt général, tous les feux sont au vert pour que s’ouvre en 2024, la nouvelle liaison routière tant attendue.

Le dossier de la concertation

La DREAL de Haute-Normandie, maître d’ouvrage du projet, vient de mettre en ligne sur son site le dossier de la concertation publique.

Pour le consulter :

Le Dossier de Consultation cliquez ici pour l’ouvrir

 

Dossier de Concertation Publique

 

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